Avec leurs matériaux nobles, inaltérables, les bijoux en or ne sont-ils pas la quintessence d’un achat durable et responsable ?
Il y a en effet quelque chose dans l’extrême qualité de l’or massif qui résonne avec mon désir d’une consommation plus riche de sens. L’achat de bijoux en or se réfléchit, leur possession se chérit. Ils conservent leur prestige et leur beauté au fil des années, et se transmettent de génération en génération comme un trésor, chargés d’Histoire et d’émotions.
Néanmoins, consciente des problématiques de l’industrie aurifère et joaillière (malheureusement encore trop peu connues du grand public), il n’est plus possible pour moi d’envisager ce genre d’investissement sans responsabilité éthique – et il me semble essentiel d’y sensibiliser la population.
Derrière leur image luxueuse, les dessous de la joaillerie ne sont pas aussi reluisants qu’on pourrait l’imaginer: dommages environnementaux, violences humaines, manque de transparence… Pour que nous brillions de mille feux, d’autres êtres vivants paient un prix insensé.
Après plusieurs années d’expérience dans le domaine des bijoux en or éthiques, dont j’ai accumulé une petite collection (via mes propres achats, mais aussi grâce à mes collaborations avec des marques engagées), je vous propose aujourd’hui un grand guide de consommation pour une joaillerie responsable: les informations à connaître, les alternatives qui existent, et mes recommandations de bonnes adresses où dénicher vos prochains bijoux – autant pour les budgets plus restreints que pour les grandes folies.
J’espère de tout coeur que ce partage de connaissances (en toute humilité: je ne suis qu’une consommatrice éclairée, pas une professionnelle !) pourra aider certain.es d’entre vous à faire des choix plus alignés avec leur vision du monde – et qu’ensemble, nous participerons à faire évoluer la joaillerie vers toujours plus de conscience.
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LE CÔTÉ SOMBRE DE LA JOAILLERIE
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☞ POLLUTION
L’industrie aurifère est malheureusement très dommageable d’un point de vue écologique: destruction des éco-systèmes et déforestation, consommation astronomique d’eau (10 millions de litres pour 15kg d’or), libération de substances nocives et éco-toxiques comme le mercure ou le cyanure dans l’environnement, production importante de gaz à effets de serre (520kg pour 20g d’or), déchets miniers… Pourtant, chaque année, ce sont 1600 tonnes d’or qui sont extraites rien que pour les besoins de la bijouterie…! L’extraction de diamants et autres pierres précieuses, quant à elle, est beaucoup moins toxique pour l’environnement, mais génère tout autant de destruction: des superficies de dizaines ou centaines de milliers d’hectares sont creusées aux explosifs, perturbant des zones parfois fragiles.
☞ ATTEINTES AUX DROITS DE L’HOMME
Les conditions de travail dans les mines sont généralement catastrophiques: rémunération dérisoire, exploitation et travail forcé, risques de sécurité et de santé élevés, protection sociale inexistante… Il s’agit par ailleurs d’une industrie « championne » dans le travail des enfants: plus d’un million d’entre eux seraient concernés dans le monde, souvent mis à profit pour leur petite taille dans les galeries les moins accessibles, où l’air est chargé de poussière et les accidents extrêmement courants. La plupart d’entre eux ne sont pas scolarisés.
☞ LIEN AVEC LES CONFLITS ARMÉS
L’extraction et le commerce de l’or, comme celui des diamants et autres gemmes, participent au financement de groupes armés criminels dans de nombreuses régions du monde (Afrique, Amérique Latine…). Ces mafias les utilisent notamment dans une optique de blanchiment d’argent, pour se fournir en matériel militaire. Si le Processus de Kimberley a permis de limiter l’arrivée des « diamants de sang » dans le circuit commercial international, il reste insuffisant pour garantir l’absence de toute forme de violences.
☞ MANQUE DE TRANSPARENCE
L’industrie joaillière dans son ensemble reste encore opaque, et pour cause: l’origine des matières premières est souvent difficile à tracer en raison des diverses étapes (extraction, transformation…) réalisées dans différents pays avant d’arriver dans les mains des créateurs locaux.
LES OPTIONS ÉTHIQUES EN JOAILLERIE
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☞ L’OR FAIRMINED
Ce label d’origine colombienne est le seul qui garantit un or strictement traçable et éthique: celui-ci est extrait à petite échelle dans des mines artisanales, avec des pratiques respectueuses de l’environnement et des droits de l’Homme, ainsi qu’une forte valeur sociale. C’est une solution de développement durable, qui permet de soutenir des opportunités économiques essentielles pour les populations vulnérables de pays du Sud tout en limitant l’impact environnemental de l’exploitation aurifère – même si une certaine empreinte écologique est inévitable.
☞ L’OR RECYCLÉ
À condition que son origine soit bien tracée (par exemple avec la certification CoC du Responsible Jewellery Council), c’est probablement l’option la plus écologique pour la création de bijoux neufs: elle ne requiert aucune nouvelle extraction et tire profit de ressources déjà existantes (déchets électroniques et dentaires, bijoux inusités, chutes de fabrication…). Les quantités d’or déjà extrait et disponible à cet effet sur la planète sont d’ailleurs suffisantes pour subvenir aux besoins du secteur joaillier durant plusieurs dizaines d’années ! En revanche, cette option n’offre pas de soutien économique aux pays en développement.
☞ LES DIAMANTS ÉTHIQUES
La certification proposée par le Processus de Kimberley n’écartant que les « diamants de sang » (liés aux conflits armés), elle n’est pas suffisante pour garantir une extraction respectueuse de l’environnement, et des conditions de travail satisfaisantes pour les travailleurs/ses. Certains joailliers approfondissent donc leur démarche en s’approvisionnant à la source via des mines partenaires rigoureusement sélectionnées pour leurs bonnes pratiques, dans les régions diamantaires les plus sûres comme le Botswana, l’Afrique du Sud, la Russie ou le Canada – offrant ainsi des opportunités économiques bénéfiques pour ces communautés.
☞ LES DIAMANTS DE SYNTHÈSE
Souvent mal perçus par la joaillerie traditionnelle, les diamants produits en laboratoire ont pourtant de nombreux atouts: ils ne requièrent aucune extraction, présentent les mêmes caractéristiques que les diamants extraits des mines (avec toutefois un degré de pureté et de brillance rarissimes dans la nature), et s’avèrent en général un peu moins onéreux. Il est en revanche préférable de privilégier les diamants d’origine californienne, dont la consommation énergétique est peu polluante (sources renouvelables) que ceux d’Inde ou de Chine, en attendant le développement de diamants français !
☞ LA TRAÇABILITÉ DES GEMMES
Comme pour les diamants, les pierres précieuses et fines devraient idéalement faire l’objet d’une traçabilité stricte et d’un contact direct avec des mines artisanales (de préférence dans des pays stables où les droits sociaux sont protégés) pour garantir une extraction plus respectueuse de l’environnement et des conditions de travail justes – même si le sujet est loin d’être simple. Néanmoins, mis à part le sigle RJC (qui a ses détracteurs), il n’existe pas encore de certification spécifique à ce domaine: tout repose donc sur l’engagement et la transparence des artisans joailliers.
☞ LA FABRICATION LOCALE
Afin de soutenir le savoir-faire d’artisans qualifiés contre la délocalisation, nourrir l’économie locale, et s’assurer le respect des droits sociaux en vigueur en Europe, mais aussi par souci de transparence et pour réduire l’impact du transport, il est intéressant d’opter autant que possible pour du made in France (ou Belgique, Suisse, Luxembourg…).
☞ LA SECONDE MAIN
Comme dans tous les domaines, la seconde main (surtout lorsqu’elle est locale) permet de réduire drastiquement l’impact environnemental d’un achat de bijou: l’objet existe déjà, donc il ne nécessite aucune extraction supplémentaire et très peu de dépenses d’énergie, si ce n’est pour la restauration et le transport. Il n’implique pas non plus de financer une industrie dont on connaît mal les conditions de travail. C’est probablement l’option la plus écologique de toutes; son défaut est en revanche de ne pas générer autant d’emplois.
QUELQUES INFORMATIONS À CONNAÎTRE
POUR BIEN ACHETER
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☞ BIJOUX EN OR vs BIJOUX FANTAISIE
Dans les bijoux en or, l’ensemble du matériau utilisé pour former le bijou contient de l’or – celui-ci est fondu dans la masse avec un petit pourcentage d’autres métaux. Ces pièces ne perdent donc pas leur dorure au fil du temps, et sont hypoallergéniques. Au contraire, les bijoux fantaisie sont formés d’un métal tiers (en général du laiton, sauf pour le vermeil) auquel on applique une couche externe d’or via divers procédés plus ou moins qualitatifs. L’épaisseur de cette couche d’or varie selon les appellations, influant sur la longévité du bijou:
- « doré à l’or fin » correspond en général à une couche très fine, entre 0,5 et 1 micron d’or
- le plaqué or comporte une couche fine d’au moins 3 microns
- le vermeil comporte une couche fine d’au moins 5 microns, fondue sur de l’argent massif
- le « gold filled » est l’option la plus riche en or, avec une couche qui doit correspondre au minimum à 5% du poids total du bijou.
☞ PURETÉ DE L’OR
L’or pur (24 carats) n’est pratiquement pas utilisé en joaillerie en raison de sa malléabilité, qui le rend facilement déformable. On réalise donc des alliages avec d’autres métaux plus solides, qui peuvent aussi participer à lui donner sa couleur (du cuivre pour l’or rose, de l’argent et du palladium pour l’or blanc…). Seul l’or 18 carats ou 750/1000e est considéré comme de l’or massif, car composé à 75% d’or; c’est l’option la plus précieuse en joaillerie en France*, car elle est inaltérable. Les carats inférieurs, que l’on retrouve beaucoup en bijouterie pour leur prix plus accessible (14k, 10k, 9k….) sont eux considérés comme des alliages d’or, et non de l’or massif, en raison de leur teneur plus faible: ils comportent de 58,5% à 37,5% d’or selon le cas.
*Au Portugal, c’est l’option 19,2 carats qui est traditionnellement utilisée. On trouve aussi pas mal de 22 carats dans la joaillerie asiatique – mais ce n’est pas courant dans nos régions car le résultat est encore trop mou.
☞ POIDS DE L’OR
En plus de la pureté de son or, déterminée par les carats, la valeur d’un bijou est fortement influencée par son poids: plus la pièce est lourde (et sa teneur en or est élevée), plus elle sera chère. À titre indicatif, le prix d’un gramme d’or 18k en France varie aux alentours de 30-40€ selon le cours; à cette valeur, bien sûr, s’ajoutent celle des éventuelles pierres que comporte le bijou, de la fabrication, et éventuellement du « sigle » s’il s’agit d’une marque reconnue. Deux paires de créoles de taille similaire, par exemple, peuvent avoir une valeur assez différente si l’une est composée de tubes creux très légers et l’autre d’une version plus épaisse, voire pleine, donc plus lourde.
☞ QUALITÉ DES DIAMANTS
Dans le monde du diamant (et des gemmes en général), les carats ne désignent pas la pureté mais le poids de la pierre. Dans le cas d’une multiplicité de diamants sur un même bijou, c’est le poids total qui est renseigné: par exemple, une bague indiquée à 2 carats peut comporter 20 petits diamants de 0,1 carat, ou un gros solitaire. La qualité du diamant est également évaluée selon sa clarté (c’est à dire la quantité d’impuretés dans sa structure), sa couleur (du D pour un blanc parfait, au Z pour une teinte jaunâtre), et la qualité de sa taille (proportions, symétrie, capacités réflectives de la lumière…). Tous ces aspects comptent dans la valeur finale du bijou: ils sont en général renseignés sur le certificat d’authenticité, ou peuvent faire l’objet d’une estimation.
☞ AUTHENTICITÉ
L’authenticité d’un bijou en or est en général vérifiable grâce à la présence d’un poinçon de garantie (ou poinçon de titre) sur la surface du bijou. En France, les pièces en or 18 carats de plus de 3g doivent être marquées d’un poinçon tête d’aigle tourné vers la droite; à l’étranger, et en France pour les bijoux de moins de 3g, on retrouve principalement des poinçons « 750 » ou « 18k ». L’apposition de ces poinçons est régulée par les autorités; néanmoins, les poinçons numériques étant faciles à reproduire de façon frauduleuse, il est intéressant d’obtenir une double garantie avec un certificat d’authenticité (souvent délivré au moment de la vente) ou en faisant contrôler la pièce par votre bijoutier.
☞ MODIFICATIONS ET PERSONNALISATION
Il est en général assez aisé de faire restaurer ou modifier des bijoux en or par un bijoutier: c’est aussi ce qui rend la joaillerie très durable. La plupart des bagues, par exemple, sont faciles à agrandir ou réduire de 2-3 tailles de doigt, et les chaînes (bracelets, colliers…) peuvent également être raccourcies ou rallongées. Les bijoux aux surfaces griffées ou abimées peuvent être polis par un professionnel afin de retrouver tout leur brillant, et les pierres peuvent être remplacées. Enfin, les pièces qui ne vous plaisent plus peuvent être apportées à un joaillier créateur afin d’être fondues pour créer un nouveau bijou plus à votre goût.
MES BONNES ADRESSES
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︎ JOAILLERIE ÉTHIQUE
- Or du Monde*. Cette bijouterie fondée par la famille Pavan est la toute première qui m’a sensibilisée aux problématiques éthiques dans le milieu de la joaillerie: je porte la marque au quotidien depuis 5 ans. À leur engagement poussé sur la traçabilité impeccable de leurs diamants et autres pierres (Sacha voyage personnellement dans le monde entier pour trouver des mines artisanales et engagées, avec qui il a un contact direct) s’ajoute leur choix d’un or 100% recyclé, et une qualité faite pour durer toute la vie (attaches et sertissages solides, alliages qui ne ternissent pas, confort…).
- JEM*. Alliant la pureté d’un design radical et minimaliste à une éthique qui fait profondément partie de son ADN (JEM = Jewellery Ethically Minded), cette maison propose des bijoux à l’identité visuelle forte (formes géométriques simples, inspiration architecturale….) imaginés par de grands noms du design. Toutes leurs créations sont made in France en or certifié Fairmined et diamants de synthèse, dans une qualité incroyable (je n’avais jamais vu de fermoirs aussi solides que sur mes boucles Sillons). Un vrai vent de fraîcheur et de modernité à tous points de vue ! Si vous aimez les pièces très fines pour le quotidien, leur collection Anagramme est parfaite.
- Courbet*. J’ai eu un coup de coeur immédiat pour cette marque de haute joaillerie innovante ! Première maison écologique et éthique de la place Vendôme, Courbet veut changer de l’intérieur la perception du luxe en associant au beau la notion de bien – un défi audacieux dans ce milieu très attaché à ses traditions. Tous leurs bijoux sont en fabriqués en or recyclé 100% traçable issu de l’industrie électronique, et diamants de laboratoire (dont les tout premiers diamants de culture français !), dans leurs ateliers de Paris, Lyon et Valenza (Italie).
- Gemmyo*. En plus d’une fabrication 100% française, la maison Gemmyo utilise exclusivement de l’or et du platine recyclés pour la création de ses bijoux, et tous ses fournisseurs sont certifiés Responsible Jewellery Council. J’apprécie également beaucoup la qualité de leurs créations, que l’on sent prêtes à durer toute une vie (voire plusieurs !). J’adorerais les voir renforcer la traçabilité de leurs diamants et gemmes à l’avenir, pour encore plus de transparence sur leurs conditions d’extraction !
- Mais aussi: Paulette à Bicyclette, Flore & Zéphyr, Kimaï, Douze Paris, Breidal, Myrtille Beck…
︎ BIJOUX VINTAGE ET SECONDE MAIN
- Noir Carat*. Des bijoux anciens chinés à la pièce dans toute la France par une jeune femme passionnée, et restaurés avec amour: c’est le joli concept de Noir Carat, que je suis depuis ses débuts. J’adore les sélections intemporelles de Fanny, au style résolument vintage, et uniquement composées d’or 18k: mon bracelet chaîne est un classique indémodable, et mon frère y a aussi déniché une bague « toi et moi » absolument superbe pour sa dulcinée. Les petites pochettes cousues main qui protègent les bijoux plairont en outre à toutes les personnes sensibles à l’artisanat.
- Catawiki. J’ai fait quelques bonnes affaires sur cette plateforme d’enchères, qui permet parfois de remporter de belles pièces à prix très intéressants (notamment lorsqu’il n’y a pas de prix de réserve) même si la concurrence est rude. Dans la catégorie « Bijoux« , je vous conseille de sélectionner les sous-catégories « Bijoux vintage », « Bijoux anciens » et/ou « Bijoux Art Deco & Art Nouveau » pour être sûr.es qu’il s’agit de seconde main. Vérifiez bien les détails des annonces et les avis pour chaque vendeur (beaucoup sont professionnels), et n’oubliez pas que le prix final inclut les frais de port ainsi que des frais d’enchères de 9%.
- Amsterdam Vintage Jewels*. J’ai adoré mon expérience avec cette boutique qui propose notamment des bijoux vintage et anciens: packaging soigné, bague en état parfait (repolie, bien brillante) malgré son grand âge, et prix correct. La bague ancienne que j’ai choisie date de l’Angleterre victorienne: ses poinçons situent sa fabrication en 1896 à Birmingham, et en effet, ce style « gypsy » est typique de la période ! À ce jour, elle reste ma trouvaille préférée. Dommage que les sélections du site aient un peu changé entre temps: il y a peu d’or 18k, au profit d’alliages moins luxueux.
- Vinted, Le Bon Coin, brocantes, etc. Acheter des bijoux en or à des particuliers présente toujours un risque, mais c’est aussi de cette façon que l’on peut faire les meilleures affaires; je ne vous conseille néanmoins pas d’y investir des sommes trop importantes sans garantie. Avec les petites annonces en ligne, il est rassurant de pouvoir consulter de bons avis clients pour le/a vendeur/se concerné/e. Sur internet comme hors ligne, la présence d’un certificat d’authenticité (conservé au moment de l’achat initial, ou issu d’une estimation postérieure), ainsi que d’informations sur le poids et l’origine du bijou peuvent également dénoter une annonce honnête.
- Etsy. Si depuis le Brexit, les risques de taxes rendent les achats britanniques peu intéressants, je vous signale tout de même deux boutiques de bijoux anciens de confiance que j’adore sur Etsy, toutes deux situées au UK: Heritage Jewellery Co. et Old Darling Antiques. On trouve également des vendeurs français sur la plateforme, comme Etoile Grenat ou Contenissa Bijoux, qui cumulent de très bons avis clients.
- Mais aussi: Caillou Paris, Les Dormeuses, Souviens-toi Bijoux, 58 Facettes, Maison Guilhem…
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Sources:
https://www.ordumonde.com/a-propos/engagement-or-du-monde-69
https://www.breidal.com/blogs/journal/or-recycle-ou-or-fairmined
https://www.courbet.com/page/diamant
https://www.courbet.com/page/or-recycle
https://www.jem-paris.com/fr/or-ethique-fairmined
https://www.thegoodgoods.fr/societe/impact-extraction-or/
https://www.ilo.org/global/publications/world-of-work-magazine/articles/WCMS_081533/lang–fr/index.htm
https://www.tdh.ch/fr/projets/lutter-contre-exploitation-enfants-mines-or-burkina-faso
https://www.responsiblemines.org/fr/2019/11/el-oro-reciclado-es-una-opcion-etica/
https://www.lesechos.fr/weekend/mode-beaute/diamants-naturels-ou-synthetiques-le-duel-ethique-1316918
https://fr.wikipedia.org/wiki/Processus_de_Kimberley#Critiques
https://simpleanddainty.com/blogs/guides/types-of-gold-jewelry
DISCLAIMER
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soit lors d’anciennes collaborations, soit à ma demande pour que je puisse vous en parler.
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